Eloïse, esquisse d'un portrait

 Auteure : Eva de Kerlan

Genre : Comédie romantique

Résumé : 

Éloïse pensait que la maladie de son père serait sa plus grande épreuve. Elle se trompait.
Arrachée à sa maison et à ses amis, placée sous tutelle chez une parente hostile, elle se retrouve dans un collège où Adam et sa bande la harcèlent. Son seul refuge : le dessin, mais même cela risque de lui être retiré.
Jusqu’ici, Tobias a toujours suivi Adam sans se poser de questions. Mais quelque chose dans le regard d’Éloïse le perturbe. Peu à peu, il commence à remettre en question ses choix.
Et si, au lieu d’être témoin silencieux et passif, Tobias décidait d’agir tout en écoutant son cœur ?
Et si, grâce à lui, Eloïse retrouvait la force de lutter et l’espoir d’un amour sincère ?
Dans un monde où tout semble vouloir la briser, Éloïse peut-elle encore croire en ses rêves et trouver sa place ?

Mon avis : 

J’ai découvert une autre facette de notre autrice. Ce livre suscite des émotions dans mon cœur et ma tête. 

Nous rencontrons cette jeune fille, Éloïse, qui perd tout d’un seul coup : son cocon, ses amies.
Son changement de vie va être crucial pour elle. Elle va devoir faire face à un périple complexe avec sa nouvelle tutrice, qui n’est pas la plus sympathique du monde.
Dans ce changement, elle va aussi devoir faire face aux autres personnes, notamment au collège.
On sait très bien que les enfants sont durs entre eux et que le harcèlement va être présent.
Ce que j’aime dans ce livre, ce sont les vraies émotions, celles que nous pouvons tous ressentir.
La rencontre avec Tobias sera en dents de scie, entre les faux-semblants et les choses qui sont dites. On va découvrir tous les moments cruciaux de la vie de nos adolescents : des émois, des moments où l’on se cherche.
Mais au fil des pages, on découvre aussi la beauté de l’humain, de la descente aux enfers que je ressens.
Eva démontre aussi que tout n’est pas simple dans notre vie, mais qu’on peut aussi trouver des moments de beauté, de bienveillance, mais également de l’art.

Je remercie Eva de Kerlan pour ce service de presse qui m’a fait du bien et qui est aussi une ode à la vie.